15 octobre 2009
L'archer et l'ombre de l'archer
Le fini et l’infini
faisaient route ensemble
L’un dit
me voici arrivé
Crois-tu dit l’autre
et il prit sur ses épaules
son frère encore
trop jeune
Celui-ci
du haut de son perchoir
racontait la route
commentait le paysage
Car l’autre était aveugle
de naissance
et ne pouvait regarder
qu’en lui-même
Mais le chant
l’avait choisi pour cela
(Werner Lambersy – L’horloge de Linné)
Me voila de retour après un non départ. Comme quoi.
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