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Les ombres qui passent (walking shadows)
5 octobre 2008

Quand le jour se lèvera

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Commentaires
C
Tiens! j'avais exactement le même préjugé, et pour moi c'était bêtement, l'impression que ce serait une doublure du mari - j'adore Paul Auster donc. Puis, l'amie qui m'avait conseillé cette lecture m'a offert Tout ce que j'aimais, depuis j'offre des romans de cette romancière à tous ceux que j'aime ou qui peuvent aimer ( la dernière fois il y a dix jours! ). Rien à voir avec son Paul Auster de mari. Un autre bonheur, un vrai bonheur.
D
Merci et très flatté.<br /> Et effectivement, le cercle pourrait être à la fois celui du passé, du moi, du rêve et du souvenir, si tant est que tout cela ne forme pas une seule et même indivisible masse à laquelle on reste lié à jamais.<br /> Je n’ai jamais lu d’œuvre de Siri Husvedt, parce que j’aime trop les livres de son Paul Auster de mari. Je sais, ça n’a rien à voir.
C
j'aime énormément ce dessin... d'accord, je n'ai pas d'argument... l'utilisation de l'écrire, certes ; le clos très clos, la maison dans ce presque cercle - du passé, du moi, du rêve, du souvenir...? - la distance d'écrire entre le personnage et le lieu, et le titre narratif, c'est "comme un roman" pour moi, comme le dernier que je viens de lire dont le héros est un psychanalyste, Elégie pour un Américain, de Siri Husvedt. "Comme" est un mot pratique pour dire que c'est aussi autrement!
Les ombres qui passent (walking shadows)
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